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Regnum Galliae Regnum Mariae

ŒUVRE DE L'ADORATION A DOMICILE

Rédigé par Ludovicus

Le miracle de Lanciano   Voici l'histoire du miracle Eucharistique de Lanciano et ses conclusions par la "science" du 20 éme siècle*! A travers certains des plus prodigieux miracles que l'homme ait jamais pu témoigner, entre autres, à travers les miracles Eucharistiques, miracles divins qui démontreront à maintes reprises la présence réelle de Jésus dans le Saint Sacrement de l'autel. Le plus connu de ces miracles est, sans le moindre doute, celui de Lanciano, petite ville, pour ne pas dire village médiéval, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique Il est traditionnellement raconté que le centurion Longinus, celui-là même qui enfonça sa lance dans le flanc du Christ lors de Sa Crucifixion, perforant ainsi Son Sacré Coeur et versant l'Eau et le Sang du Rédempteur (Marc 15 : 29), était de cette petite ville d'où le changement de nom d'Anxamun à Lanciano voulant dire "Lance").   Voici donc ce remarquable récit : "Un moine basilien, sage sur les choses du monde mais moins sur les choses de la foi, passait par un moment difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre Seigneur Jésus-Christ dans l'Eucharistie. Il priait constamment pour le soulagement de ses doutes ; celui-ci effectivement. doutait et se trouvait consumé d'effroi de perdre un jour sa vocation. Son martyre était très pénible et il souffrait quotidiennement de la routine de son sacerdoce. Finalement un matin, pendant la célébration de la Messe, sujet à une grande attaque de doutes, il commença la Consécration devant les habitants d'un village voisin. Soudainement après la Consécration du Pain et du Vin, ce qu'il vit sur l'autel le fit trembler des mains. Il resta interdit, le dos tourné aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité, puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit: " O témoins heureux à qui le Dieu Béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-Même dans ce béni Sacrement et Se rendre visible à nos yeux Venez voir notre Dieu si près de nous. Voici la Chair et le Sang de notre Christ Bien-Aimé."   En effet, l'Hostie s'était transformée en Chair et le Vin en Sang! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à pleurer, en demandant pardon, et en suppliant miséricorde. Certains se frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes de témoigner de ce miracle, d'autres encore s'agenouillèrent en respect et en remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert. Ce jour même, la rumeur du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout aussi vite, les villages voisins jusqu'au Saint-Siège même."    Là ne finit pas notre histoire. Certes, "le don" de Lanciano était adressé au bon moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1297 ans, sans, toutefois, le moindre usage d'un quelconque produit de conservation ou substance chimique permettant à la Chair et au Sang de rester frais, car oui, la Sainte Hostie, transformée en Chair, et le Vin transformé en Sang, sont demeurés, pendant plus de douze siècles, parfaitement intacts.    En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation scientifique fut encouragée par l'Eglise Catholique. L'illustre Professeur Odoardo Linoli, Professeur d'Anatomie, d'Histologie Pathologique, de Chimie et de Microscopie Clinique, commença une longue série d'analyses et de tests afin de déterminer l'exacte nature du-dit miracle. Les investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme technologique dont les observations furent largement confirmées par une série de photographies prises au microscope. Les analyses, une fois terminées, permirent les conclusions suivantes : Le spécimen "Chair" de l'Eucharistie est indubitablement de la chair humaine. Le spécimen "Sang" de l'Eucharistie est indubitablement du Sang humain. Le spécimen "Chair" de l'Eucharistie est composé de tissus musculaires d'un cœur humain. Dans le spécimen "Chair" de l'Eucharistie on peut, entre autres, observer: Le spécimen "chair" de l'Eucharistie est un CŒUR HUMAIN, complet dans sa structure essentielle. Le spécimen "Chair" et "Sang" de l'Eucharistie ont le même type sanguin, AB (Note : Type sanguin identique a celui trouvé par le Professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin). Plusieurs minéraux ont été trouvés dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie : Chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium et calcium. Il fut trouvé dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie des protéines dans les mêmes proportions normales qui sont trouvées dans les sero-protéiques de sang courant.   La préservation de la Chair et du Sang, qui furent exposés dans leur état naturel, sans le moindre moyen de quelconque forme de préservation, pendant douze (12) siècles à l'action d'agents atmosphériques et biologiques, constituent un extraordinaire phénomène, scientifiquement inexplicable. De plus, il fut observé une étrange anomalie dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie : Une fois liquéfié, le Sang Eucharistique de Lanciano garde toutes ses propriétés chimiques et physiques sans toutefois se détériorer sous une forme quelconque. En effet, normalement, quinze minutes après l'extraction d'un sang humain ordinaire, toutes les activités biologiques périssent irrémédiablement, cependant le spécimen de Lanciano en tout moment conserve toutes ses propriétés biochimiques intactes. Je crois que l'on peut dire que, appelée à témoigner, la Science, malgré son incapacité à expliquer ce phénomène, a donné une réponse on ne peut plus réfléchie sur l'authenticité du miracle Eucharistique de Lanciano. Celle-ci aussi avoue, peut-être avec amertume, que tous les résultats d'analyse constituent une violation absolue des lois de la physique.

Le miracle de Lanciano Voici l'histoire du miracle Eucharistique de Lanciano et ses conclusions par la "science" du 20 éme siècle*! A travers certains des plus prodigieux miracles que l'homme ait jamais pu témoigner, entre autres, à travers les miracles Eucharistiques, miracles divins qui démontreront à maintes reprises la présence réelle de Jésus dans le Saint Sacrement de l'autel. Le plus connu de ces miracles est, sans le moindre doute, celui de Lanciano, petite ville, pour ne pas dire village médiéval, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique Il est traditionnellement raconté que le centurion Longinus, celui-là même qui enfonça sa lance dans le flanc du Christ lors de Sa Crucifixion, perforant ainsi Son Sacré Coeur et versant l'Eau et le Sang du Rédempteur (Marc 15 : 29), était de cette petite ville d'où le changement de nom d'Anxamun à Lanciano voulant dire "Lance"). Voici donc ce remarquable récit : "Un moine basilien, sage sur les choses du monde mais moins sur les choses de la foi, passait par un moment difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre Seigneur Jésus-Christ dans l'Eucharistie. Il priait constamment pour le soulagement de ses doutes ; celui-ci effectivement. doutait et se trouvait consumé d'effroi de perdre un jour sa vocation. Son martyre était très pénible et il souffrait quotidiennement de la routine de son sacerdoce. Finalement un matin, pendant la célébration de la Messe, sujet à une grande attaque de doutes, il commença la Consécration devant les habitants d'un village voisin. Soudainement après la Consécration du Pain et du Vin, ce qu'il vit sur l'autel le fit trembler des mains. Il resta interdit, le dos tourné aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité, puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit: " O témoins heureux à qui le Dieu Béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-Même dans ce béni Sacrement et Se rendre visible à nos yeux Venez voir notre Dieu si près de nous. Voici la Chair et le Sang de notre Christ Bien-Aimé." En effet, l'Hostie s'était transformée en Chair et le Vin en Sang! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à pleurer, en demandant pardon, et en suppliant miséricorde. Certains se frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes de témoigner de ce miracle, d'autres encore s'agenouillèrent en respect et en remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert. Ce jour même, la rumeur du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout aussi vite, les villages voisins jusqu'au Saint-Siège même." Là ne finit pas notre histoire. Certes, "le don" de Lanciano était adressé au bon moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1297 ans, sans, toutefois, le moindre usage d'un quelconque produit de conservation ou substance chimique permettant à la Chair et au Sang de rester frais, car oui, la Sainte Hostie, transformée en Chair, et le Vin transformé en Sang, sont demeurés, pendant plus de douze siècles, parfaitement intacts. En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation scientifique fut encouragée par l'Eglise Catholique. L'illustre Professeur Odoardo Linoli, Professeur d'Anatomie, d'Histologie Pathologique, de Chimie et de Microscopie Clinique, commença une longue série d'analyses et de tests afin de déterminer l'exacte nature du-dit miracle. Les investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme technologique dont les observations furent largement confirmées par une série de photographies prises au microscope. Les analyses, une fois terminées, permirent les conclusions suivantes : Le spécimen "Chair" de l'Eucharistie est indubitablement de la chair humaine. Le spécimen "Sang" de l'Eucharistie est indubitablement du Sang humain. Le spécimen "Chair" de l'Eucharistie est composé de tissus musculaires d'un cœur humain. Dans le spécimen "Chair" de l'Eucharistie on peut, entre autres, observer: Le spécimen "chair" de l'Eucharistie est un CŒUR HUMAIN, complet dans sa structure essentielle. Le spécimen "Chair" et "Sang" de l'Eucharistie ont le même type sanguin, AB (Note : Type sanguin identique a celui trouvé par le Professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin). Plusieurs minéraux ont été trouvés dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie : Chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium et calcium. Il fut trouvé dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie des protéines dans les mêmes proportions normales qui sont trouvées dans les sero-protéiques de sang courant. La préservation de la Chair et du Sang, qui furent exposés dans leur état naturel, sans le moindre moyen de quelconque forme de préservation, pendant douze (12) siècles à l'action d'agents atmosphériques et biologiques, constituent un extraordinaire phénomène, scientifiquement inexplicable. De plus, il fut observé une étrange anomalie dans le spécimen "Sang" de l'Eucharistie : Une fois liquéfié, le Sang Eucharistique de Lanciano garde toutes ses propriétés chimiques et physiques sans toutefois se détériorer sous une forme quelconque. En effet, normalement, quinze minutes après l'extraction d'un sang humain ordinaire, toutes les activités biologiques périssent irrémédiablement, cependant le spécimen de Lanciano en tout moment conserve toutes ses propriétés biochimiques intactes. Je crois que l'on peut dire que, appelée à témoigner, la Science, malgré son incapacité à expliquer ce phénomène, a donné une réponse on ne peut plus réfléchie sur l'authenticité du miracle Eucharistique de Lanciano. Celle-ci aussi avoue, peut-être avec amertume, que tous les résultats d'analyse constituent une violation absolue des lois de la physique.

BREF HISTORIQUE

 

La pratique de l'adoration perpétuelle est un développement de l’adoration réparatrice des Quarante Heures.

En 1534, le Père Joseph, capucin, conçoit le projet de répondre aux outrages et sacrilèges perpétués par les protestants envers l'auguste sacrement, par un surcroît d'adoration. Cela sous la forme d'un hommage particulier pendant quarante heures consécutives en souvenir des quarante heures qui s'écoulèrent depuis le moment où son divin corps fut élevé sur la croix, jusqu'à celui de sa glorieuse résurrection. Il organisa donc une exposition solennelle pendant ce laps de temps accompagnée de prédications et d'exercices pieux. Dans le but de faire adorer avec plus de ferveur le sacrement de son amour, de réparer les injures faites à sa majesté et d'apaiser la colère de Dieu irrité par les crimes des hommes.

Ces prières furent fixées au trois jours précédant immédiatement le carême. Elles

permettaient du même coup la réparation des désordres du carnaval; rejoignant par

là la pratique de l'Église antique qui avait établi des supplications solennelles pour

réparer les excès commis durant les saturnales. Elles furent célébrées en premier lieu

à Milan, puis se répandirent dans toute l'Italie enrichies d'indulgences nombreuses

par les papes Pie IV, Clément VIII et Paul V.

Bientôt la piété des fidèles ne se contenta plus de faire une seule fois par an ces prières, et l'on en demanda de tous côté le renouvellement.

En 1530, à Rome sous la direction du dominicain Thomas Stella, quelques dévots de la Sainte Eucharistie se réunissent à Sainte Marie de la Minerve, affligés de voir trop souvent les églises solitaires et le saint Viatique porté sans honneur aux malades ils fondent une association pour y remédier et qui veillera de même à la beauté des autels. Leur nombre augmentant, le pape Paul III, par la Bulle : Dominus noster Jésus-Christus, approuve leur dessein, leur accorde une constitution canonique et des indulgences; bien plus, il érige leur société en archiconfrérie pour leur susciter des imitateurs.

En 1542, la paroisse de Saint Barthélemy à Paris possède sa confrérie du Saint-Sacrement ; Saint Sulpice et Saint Merri suivront de près, dix et vingt ans plus tard Rouen et Bordeaux suivront leur exemple.

Dès 1548, elles avaient lieu, à Rome le premier dimanche de chaque mois, dans l'archiconfrérie de la, Très-Sainte-Trinité des pèlerins, instituée par saint Philippe de Néri.

En 1551, on ajouta le troisième dimanche de chaque mois, dans l’archiconfrérie de Sainte-Marie de la prière et de la mort. L'usage se généralisait.

Enfin, en 1592, Clément VIII par sa bulle Graves et diuturnae ordonna de rendre cet hommage à Dieu, constamment et à perpétuité, dans la ville éternelle. Chaque église ayant son jour et sa nuit à tour de rôle, la chapelle apostolique débutant l'année liturgique au premier dimanche de l'Avent.

L'extension de cette pratique fut autorisée en dehors de Rome, mais seulement dans les villes où les églises et les chapelles étaient assez nombreuses pour que l'adoration ne fut jamais interrompue, ni le jour ni la nuit pendant toute l'année. Bientôt cependant les évêques obtinrent des induIts particuliers pour leur diocèses, afin que de petites villes puissent avoir la consolation de cette dévotion même si elles n'étaient pas suffisamment populeuses.

La révolution et les guerres européennes vinrent passablement perturber la pratique de cette dévotion; il faudra attendre le 6 décembre 1848, pour que reprenne, à Paris en l'église Notre-Dame des Victoires, l'adoration nocturne des hommes sous la direction de l'abbé de la Bouillerie.

En, 1851 Mme Tholin-Bost créa une association de l'adoration à domicile, elle fut encouragée par le Père Julien-Eymard, qui s'inscrit lui-même à son œuvre.

En 1875, il y avait en France environ une soixantaine de diocèses, où l'adoration nocturne était pratiquée.

En 1902, on pouvait dire que l'adoration perpétuelle était en usage dans la plupart des diocèses, chaque chapelle ou paroisse ayant un ou plusieurs jours d'adoration.

Ce très bref résumé, chers amis, pour vous parler d'une oeuvre qui me semble aujourd'hui en notre temps d'apostasie plus que d'actualité. Œuvre de réparation, de préparation indispensable au règne social de Notre-Seigneur, oeuvre d'apostolat : adorer et faire adorer. Œuvre accessible à tous, qui si Dieu le veut embrasera les âmes pour son divin sacrement d'amour. Œuvre de contemplation pour les séculiers qui attirera à n'en pas douter de nombreuses bénédictions dans les maisons où elle sera pratiquée.

Pratiquement, il suffit de s'engager à faire chez soi, ou mieux devant le tabernacle si on en a la possibilité, une heure d'adoration du Très Saint Sacrement, et cela, soit chaque jour, soit chaque semaine.

L’eucharistie est le témoignage du plus grand amour sous les plus humbles apparences.

Saint Thomas d’Aquin, le Docteur Angélique fut sans doute le plus grand chantre du Saint Sacrement, et son Office est une source sûre et parfaite pour la contemplation de la divine hostie.

Il n’est rien au monde de plus réel et de plus substantiel que l’amour de Dieu. En comparaison de cette grande réalité tout le reste n’est qu’une vraie chimère, mirage inconstant vide de sens, or l’eucharistie est la présence réelle parmi nous, la preuve concrète de cet amour infinie de la Très Sainte Trinité par Jésus-Christ pour nous ; donc il n’y a rien ici-bas de plus réel et de plus substantiel que le Saint Sacrement Dieu parmi nous.

Plus nous ferons de notre vie, une vie orientée et axée sur l’Eucharistie, plus nous serons dans le réel, plus nous serons unis à Dieu, plus nous serons vainqueurs des illusions et des fantasmagories des sens, de l’imagination, des passions, plus nous serons dans la Vie vivifiante, dans l’Être, dans la Vérité.

Que notre âme soit toujours tournée vers l’Eucharistie (Centrum omnium cordium). Il faut vivre en état de désir et d’aspiration. Il n’y a d’infini en l’homme que le désir et l’élan de son âme, qui ne peut être assouvi par aucune créature, qui doit être réservé pour Dieu.

Voilà l’origine des malheurs des âmes cherchant leur bonheur dans les créatures, jamais elle ne pourront être rassasiées.

Le Christ est venu pour nous sauver, mais plus encore pour adorer et louer son Père, pour susciter des âmes qui s’unissent à sa pensée, à son amour, à son sacrifice : de vrai adorateurs, en esprit et en vérité, ils nous faut donc adorer et faire adorer : l’Eucharistie et par l’Eucharistie la Très Sainte Trinité.

Un seul Prêtre, un seul Sacrifice, un seul Pain venu du ciel, qui nous nourrit pour nous assimiler de plus en plus à Lui, pour nous conformer de plus en plus à ce que nous sommes dans son amour : ses frères, les fils du Très Haut, des dieux en Dieu, pour Dieu, par Dieu.

Assimilés à Lui, la seule louange, la seule hostie, la seule prière agréée, nous nous placerons sous le patronage de Notre-Dame Adoratrice à la crèche afin que nos petits hommages soient par elle rendus plus digne du Cœur Eucharistique de son divin fils. De plus il faut tâcher de recruter des âmes ferventes et réparatrices pour la propagation de l’œuvre.

Cette œuvre fut approuvée en 1851, par le Cardinal Louis de Bonald, Archevêque de Lyon.

 

"C'est la torche de l'amour qu'il faut porter dans les âmes tièdes et qui se croient pieuses, et ne le sont pas parce qu'elles n'ont pas établi leur centre et leur vie dans Jésus au saint Tabernacle"

Saint Julien-Eymard

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